Lyrics
En toute impunité,
l'impudique vient pour tout nicker,
dans cette espèce, dit-on, d'expédition punitive.
Parce que la nation me prive,
je me mets à parler d'insécurité
dans ces rues rythmées,
par la peur immédiate et les mains moites.
De facho fâché, fiché de gauche comme de droite
Mais qu'ils se doigtent,
devant lévidence du K.O éminent.non
Votre éminence, ce sera ma voix pour le combat milité,
sans culpabiliser de raper le droit à la dignité.
En effet comptabilisez les coups bas nous visant,
et vous verrez le pourquoi du comment.
Souvent un tournoi de tourment
saignant la courroi au tournant.
Assez médités , vos doctrines d'extrême vous ont menoté
Et quoi k'vous disiez
le regard "50P" vous le méritiez
si vous privez des libertés enseignées .
Assis au bar le midi,
une assiette crudités, de peur de m'alimenter
dans leur comunauté.
Ah les menteurs font preuve de docilité,
crucifiés durant les hostilités.
Je t'assure des os vont sauter,
car le oze style tue,
même la police de proximité,
qui font suivre leurs affaires,
par des procés miteux mito.
Que l'on qualifiera de proxénétisme agravé.
Presser ma queue et il en resortira,quoi
que je serai kalif ou roi,
jusqu'a ce que l'on pousse au risque en "gova",
Pont de l'alma comme Diana.
Gavé on perd notre temps inutillement, à se mutiler
sur des souvenirs passés.
Sans soupir poussé,
parce que l'on sait qu'il y a pire aileurs.
Et les tirailleurs s'en tire saôul sur un fond de saoul.
S'étirent et se tirent ailleurs
saôulés à force de douiller de tant de malheur.
-REFRAIN:X1
On me propose la névrose
jusqu à ce que mes os se nécrosent.
Oze electron libre.
On impose mon pèse,
et il faudrai que j'me taise
quand on nous arrose de doses drogue de synthèse.
Electron libre.
Ma fibre s'oppose, Oze virtuose,
qui cause les ékymoses au l'équipes rose.
Electron libre.
Mets de la morphine dans sa prose
puisque la psychose se métamorphose
et pose des choses qui explosent.
Le regard vide, les yeux dans le vague,
sur ce monde d'aveugle qui divague.
J'clame et tague ma peine dans des plaines où planent,
des odeurs nauséabondes.
Vision d'horreur depuis que des hommes ont osé la bombe.
Question d'honneur,oze de la bombe
à n'importe quel horaire,même dès l'aurore.
Ma fibre sonore est hard core,et ça s'honore
libre de son sort même dans son tort .
Réel avant Ozzy Osbourne,
Rael où celle qui s'oxyde les boucles en blonde.
Nonbreuses "tasses" dans les baffles,
qui se donnent à la baise,
après quelques taffes de beuz de beu,
Bref j'te brosse le portrait du bosse,
qui briffe et brasse, mise en masse
sur le "biz" de basse.
J'veux pas d'un taf de base,
une brèche pour crèche,
un cul de sac à sept cent sacs,
dans une vielle baraque.
Appeler ma rate chaton
et m'shooter au prozac
comme ces maniaques qui rendent leurs plaques,
après avoir bavuré un black d'équerre devant une banque.
Ils ont des tanks et nous des claques.
Et les objectifs qui se braquent,
devant l'état de manque que l'on nous matraque en vrac.
Ok d'équerre je mets tout le monde d'accord,
sur portrait précaire .
Ca tire à tort et à travers,
dans un décor lunaire
pour l'or et sa lumière.
Apocalyptique, combat idyllique,coma éthylique
observé par les satellites.
Un sport athlétique avec ces saletés d' flic Robocop,Terminator
et joue- la fine, c'est les Yvelines en ligne.
Rageant en fonction des agents en faction
qui, sous la préssion de transactions,
deviennent précieux et font dans leurs caleçons cossus.
Sales sont ceux qui prétendent me donner la leçon,
croyant que j'suis né tendre, au dessus de tout soupçon.
Faut pas te méprendre et couper le son,
t'en prendre à la foule et foutre des coups de tesson.
Tu ferais mieux d'apprendre, c'est la seule façon
d'étre un libre électron.
Electron libre.